« En Pologne, après 1989, la télévision couleur est beaucoup plus accessible et stable, il n’y a plus alors besoin de s’aligner parfaitement au satellite pour que la finale de la coupe du monde ne se coupe pas. Dans « Dancing in the corner » c’est le football qui relie le protagoniste à son père depuis sa plus petite enfance, quand il fallait s’imaginer les matchs mal diffusés, ils se retrouvaient à deux face à un ballon. Ils suivront cette tradition de nombreuses années. Dans des décors ternes de l’Europe de l’est, le réalisateur évoque avec pudeur le temps qui passe, et les traces qu’il laisse sur les corps. »
Mayeul, jeune organisateur